" Flashback "
La bête courait à l' intérieur de la maison poursuivant la femme dans toutes les pièces. La lune complète en cette nuit brillait dans toute les fenêtres de la résidence, cette éclat de lumière créait chez le démon une soif atroce de sang. Il entra en trombe, tout en défonçant la porte de la salle de bain, sentant le doux nectar du parfum que celle-ci émanait. L' imposante créature fondit sur la femme habillé d' une robe de nuit blanche, son sang jaillissait dans tout les coins lorsqu' il l' éventra avec ses crocs. Sa belle chevelure doré prit la couleur rouge sang. La vie de la jeune femme prit fin sur le dernier mot qu' elle souffla : Ryu...
Un jeune homme d' aspect jeune se réveilla la tête planqué sous une oreiller, le mec était en sueur. Il s' assit maladroitement sur le lit, il bailla un long moment et ouvrit grandement ses yeux. Un sourire dément anima ses lèvres lorsqu' il se mémora le massacre qu' il avait commis la veille. Les murs de la chambre était peinturer de sang. Les draps blanc du lit étaient tout couvert de sang. Yang sorti du lit et fonça nu vers le garde-robe. En ouvrant la porte, le cadavre d' un homme tomba au plancher. Le pauvre avait été complètement mutilé, on en reconnaissait même plus l' identité, mis à part que c' était un homme. Ryu décrocha des supports, une chemise noir et un jeans.
Il prit sa douche, se peigna et s' habilla. Il pénétra dans une vaste cuisine luxueuse, fouilla chaque tirroir et dans l' un d' eux, il prit un long couteau de cuisine. Comme chaque soir depuis quatre mois, il sorti avec précaution dans les rues. Avec sa tête mise à prix, Yang devait prendre toute les précautions. Du moin, jusqu' à ce qu' il est trouvé l' entrée qui permettrait à sa race d' avoir accès sur ce monde et ainsi prendre le contrôle de ces misérables humains.
J' ai marché en pleine nuit, sous un ciel recouvert par les nuages. Je me suis dirrigé en direction de la place du marché. Un homme était venu s' assir sur un banc, il était essouflé et semblait avoir courru un long moment. Je me suis dit
* Tien, un pitoyable humain. La peur se lit sur son visage et il semble fuir quelque chose. Intéressent..*
L' homme se retourna, observant les moindres détail qui l' entouraient. Il semblait ne pas m' avoir remarqué. Cela ne m' étonna guère, les humains ont tout devant les yeux, mais ceux-ci ne remarque jamais rien. Il ne se préoccupe jamais des détails, c' est ce qui rend ces êtres si faible. L' homme resta assis quelques instant et ce leva, J' ai marché sur ses talons lorsqu' il c' est enfui de la place...