Le temps s'assombrissaient, une grande orage se préparait. J'arrivais en fureur dans un petit village, à cette heure les gens devaient tous être à la maison à dormir profondément. Devant moi était dressé une grande maison qui se terminait avec un toît triangulaire. Une ambience sombre et lugubre se fondaient au travers la petite pluie qui venait de tomber.
J'arrivais près de cette grande maison qui avait l' aire d'être entourer par des champs. Une faible lueur dansante émanait d' une fenêtre lointaine vers le haut de cette demeure. Une jeune femme nue était visible au travers la vitre, dans un élan de plaisir celle ci était assis sur le lit et semblait en pleine orgasme. Son regard sensuel se transforma en sursaut lorsqu' elle s' était tournée vers moi lors d' une éclair qui avait illuminé toute le domaine.
Les pensées de la jeune femme étaient devenu confuse et celle-ci était certaine qu' il y avait quelque chose dans ces champs. Le conjoint avait aperçu le regard plein de surprise de son amoureuse et avait cessé son fantasme pour lui demander :
" Cherie ? qui y a t' il ? "
" J' ai cru voir quelques chose entres les champs, je ne sais pas quoi "
" Durant l' automne il y a beaucoup d' animaux, c' est le temps de la chasse, tu as surement vu un chevreuil "
" Je sais, mais c' était plus gros que cela, ça n' avait rien d' un animal...."
" Bien attend moi. je reviens dans un instant !!! "
L' homme était allé se revêtir d' une robe de chambre et de ses pentouffle.
Durant se temps, j'étais parti en direction de la porte arrière. La porte était déverrouillée, lorsque je me suis introduit à l' intérieur un cabot c' était jeté sur moi en jappant comme un dingue. Je l' avais prit par la gorge pour ensuite le lever au bout de mes bras. Cette bête que je tenais à l'extrémité de mon bras, se mit à suffoquer par la pression de ma force éminente.
De mon autre main libre ,je me suis munis d' une dague faite d' une lame en or ancestrale sorti droit de la civilisation d' un peuple qui aurait été oublié depuis des siècles. Au milieu de celle-ci, on pouvait y apercevoir de petite sculture fait d'argent représentent des âmes. Avec cette arme, j' ai ouvert le corps du chien de race rottweilers, de la gorge jusqu' au bas de son ventre. Àpres avoir éventré le chien, les tripes s' échapèrent du ventre.
J' ai laissé tombé le cadavre du pauvre chien par terre près d'une table lorsque j'ai attendu un ''chick chick'' venant au deuxième étages. Les marches étaient face à moi et la table derrière moi ou le chien gisait sans vie, vidé de ses tripes qui étaient étendu par terre.
Dans une sorte de vision flou, j' ai apperçu un homme d' une vingtaine d' années qui descendaient les marches et qui allait apercevoir cette animal mort, étendu gissant dans une marre de sang, ce qui fera diversion lorsque je me cacherai du côté du mur droit de l'escalier pour ensuite le prendre par surprise.
Après quelques secondes, la scène que je venais de percevoir en avance se réalisa.J'attendais l' homme qui dévalait l'escalier marche par marche. À la dernière marche, son regard figea à la vue de son chien mort. D' un geste vif, seule le son de la douceur de l' aire qui se tranchait au fil de ma lame ce fit entendre. L ' homme ne réalisa pas sur l'instant ce qui venait de se produire, en une fraction de seconde une ligne rouge est apparu le long de sa gorge. Dans un geste désespéré, l' homme tenta de crier, mais la seule chose qui se produit fut une grande quantité de sang qui ruisselait au pulsation de son coeur. Le jeune homme tomba, d' un réflexe inhumain je l' ai pris dans mes bras pour le déposer délicatement. J'ai quitté cette pièce pour monter au deuxième étages en laissant le corps au sol se vider de son sang. Une fois à l' étage supérieur, je me suis dérigé directement vers la première porte qui était face à moi et j'ai entendu une jeune femme dire:
-Chérie est-ce que tout va bien ? j'ai entendu un drôle de bruit au premier étage,tu devrais te dépêcher avant que je perde toute mon exitation.
Pendant qu' elle disait ses paroles, j' ai entré dans la pièce et je me suis dirigé vers elle guidé au son de la douceur de sa voix. Une fois à côté de la jeune femme, j'ai effleuré sa chevelure de ma main pour longer le long de sa joue pour finalement la prendre par la gorge. D' un geste brusque, je l' ai sorti du lit et je l' ai soulevé d' une main pour la coller dos au mur. Empoignant mon couteau, je l' ai cloué au mur en perforant sa chaire entre ses seins.
Dans ce moment de carnage, je fus surpris lorsque la lumière c' est allumé. À l' instant que je tournais la tête, un enfant en larme et l' autre fuyait déjà dans les marches. Le plus jeune des deux qui était en larme restait figé devant moi le regard perdu. J' ai arraché le couteau de la poitrine de ma précédente victime pour ensuite foncer sur le jeune flow. D' un coup de pied, je l' ai projeté au travers de la garde d' escalier. Avant même qu' il puisse se fracasser les jambes au sol j' ai matérialiser une corde qui s'enroula autour d' un sublime lustre de cristal et qui avait rejoint le cou du jeune enfant pour le pendre. Au moment que la corde ce raidit, le lustre flancha pour défoncer le crâne de l'enfant.
Le second enfants traversait déjà la porte pour fuir le lieu du massacre. Je me suis assi sur le balcon sachant très bien ce qui se produira. Je dégusta avec plaisir la souffrance que le jeune enfant ressentit lorsqu' un camion citerne éclata son corps frêle sous l' impact.
J' ai quitté ces terres au bruit infernal de pluisieurs accidents qui s'en conclut par une explosion.